Candidatures au Conseil d’Administration : un poste dans chaque collège
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Bonjour à tous,
Les mandats d’administrateur qui arrivent à terme cette année sont :
- Atelier des beaux boulons, représenté par Simon Laurent, du collège des FabLabs,
- Dimitri Ferrière, qui remplaçait le projet de FabLab Signothèque, collège des Projets de FabLabs,
- Joris Navarro, collège des Usagers,
- Olivier Gendrin, collège des Sympathisants.
Pour rappel, nos status prévoient que (article 13)
Les mandats sont renouvelables une fois.
Notre réglement intérieur prévoit que
Élection du conseil d’administration
Les candidats au CA doivent faire acte de candidature au moins un mois à l’avance sur le forum de l’association. Ils doivent faire une profession de foi de 200 signes au moins. Les personnes morales peuvent indiquer le nom de la personne pressentie pour les représenter.
Les candidats devront être adhérents et à jour de leur cotisation au jour de l’Assemblée Générale pour pouvoir être élus.
Merci aux candidats de faire acte de candidature ici avant l’envoi des convocations à l'AG.
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Bonjour Olivier, bien reçu. J'en parlerai autour de moi. Bien à tous. romain
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Chers amis adhérents du Réseau Français des Fablabs,
L'Atelier des Beaux Boulons ne souhaitant pas se présenter pour un second mandat, c'est à titre personnel que je présente ici ma candidature en tant qu'adhérent au "Collège des usagers de Fablab".
Tout d'abord quelques mots pour me présenter.
Je m'appelle Simon LAURENT, j'ai 39 ans et je vis à Auxerre dans l'Yonne. Dans une autre vie j'étais entrepreneur dans la restauration à Paris. Je suis aujourd'hui salarié d'une association qui gère un projet de Tiers-Lieu à Auxerre.
J'ai découvert l'univers des Fablab en 2013 après l'achat de ma première imprimante 3D (une UMO , pour les connaisseurs). Très vite avec mon frère Emmanuel et une petite équipe d'auxerrois nous créons l' "Atelier des Beaux Boulons", un Fablab associatif communautaire qui fête cette année ses 5 ans d'existance.
Depuis 2015 et la participation à mon premier Fablab Festival je suis très investi dans les instances de notre réseau. Membre du CA de 2015 à 2016, vice-président de 2016 à 2017, et puis président en 2018.
Avec d'autres, j'ai participé à bon nombre d'actions et de rencontres de valorisation de nos actions et j'ai également passé beaucoup de temps sur les routes depuis 3 ans, pour rencontrer et soutenir la création de nombreux Fablabs en France.Ces années d'expérience au contact des Fablabs de France m'ont permis d'imaginer et de formuler un projet associatif auquel une large majorité des adhérents de l'association ont souscrit lors du dernier Octobermake à Nancy.
Ce projet s'articule autour de deux axes principaux
A l'intérieur du réseau
En premier lieu, la création d'un capital informationnel commun pour les Fablabs du réseau et la mutualisation d'un certain nombre de services nécessaires à la bonne vie et au bon développement des Fablabs Français. Cette volonté se concrétise au mois d'octobre dernier par la création de 6 groupes de travail thématiques sur les préoccupations les plus visibles des Fablabs du Réseau. (Accès-Handicap, international, apprentissage-éducation, écologie, métiers des Fablabs et ressources documentaires)
Chaque groupe de travail a pour mission de se fixer des objectifs de réalisation à moyen et long terme ainsi que de documenter le maximum de contenu sur le wiki de l'association.
Ces travaux doivent donner lieu à des actions concrètes : La sécurisation des parcours de formation pour les métiers des Fablabs, la mutualisation de services (aide juridique, aide administrative, mutuelles, assurances, electricité, matériel...), le financement de l'association permettant la création de 3 postes à temps plein, la mise en place d'un cahier de bonnes pratiques (financement, sécurité, animation...), la mise en place d'un modèle économique durable pour l'association, etc, etc.A l'extérieur du Réseau
Au national
Il n'aura échappé à personne que les Fablabs sont devenus un "vrai sujet" à l'échelle nationale, qui suscite de véritables convoitises politiques et économiques sur les territoires. Dans son rôle de défense des intérêts des Fablabs du Réseau, il est important de travailler avec les institutions pour limiter au maximum le "Fabwashing" et les effets pervers du marketing territorial. En effet, on voit depuis 2 ans emmerger des structures "Fablabs" issus de la commande publique, dépourvues de la plus élémentaire base constitutive d'un Fablab, à savoir sa communauté. Même si on peut se réjouir du succès du concept de Fablab, il serait néfaste à l'ensemble des Fablabs Français que les publics rencontrent des lieux vides de gens et vides de sens. Et c'est à cette échelle qu'il me semble nécéssaire de placer notre réseau, comme un tiers de confiance de la puissance publique pour accompagner les processus créatifs collectifs d'ateliers numériques sur nos territoires.
Ce chantier d'influence et de conseil étant déjà bien avancé puisque sort dans quelques jours le Livre Blanc des Fablabs et que nous avons été sollicité il y a quelques jours pour être membre du "Conseil National des Tiers-Lieux" qui sera créé courant juin par le gouvernement.
Dans le même esprit, nous avons opéré récement des rapprochements avec les principaux acteurs des communs, du libre et de l'open-source en France. La collaboration est déjà effective avec les Tilios (Tiers-Lieux Open-Source) et doit se développer avec Framasoft, La Quadrature du Net et Wikimédia. L'objectif étant de porter une grande campagne nationale autour de ces thématiques au sein des Fablabs du Réseau dès 2020.A l'international
Ne nous y trompons pas. Même si les Fablabs de France ont clairement leurs spécificités, il est bon de se rappeller d'où nous venons. C'est pourquoi je pense qu'il est du rôle du réseau de se rapprocher des instances internationales telles que la FabFondation afin d'améliorer l'accès aux ressources pour les Fablabs du Réseau.
Les Fablabs constituent avant tout un réseau international de partage de connaissances et à cet égard il nous faut travailler à valoriser le travail dense et qualitatif de ces acteurs. Des rencontres sont prévues d'ici la fin de l'année pour avancer sur ce sujet, avec par exemple, le projet de traduction des outils de fablab.io en langue française.
En parlant de langue française justement, nous avons parrainé au mois de novembre dernier, la création du Réseau des Fablabs Francophones d'Afrique de l'Ouest (ReFFAO), témoignant ainsi du dynamisme des Fablabs dans le monde francophone. Ce réseau frère sera d'ailleurs présent au prochain Fablab Festival de Toulouse le 23 mai prochain.
Il y a encore beaucoup d'autres sujets sur le feu en ce moment mais il serait fastitidieux de les exposer ici.C'est pour porter ce projet et tant d'autres que je souhaite conserver mon mandat de président du réseau cette année encore.
Pour porter haut la parole des communs, pour aider et soutenir tous les Fablabs de France dans leur développement. Pour que les Fablabs continuent à être des lieux de co-création d'une société basée sur les échanges de connaissances et de savoir-faire. Des lieux d'accueil inconditionnels de tous les publics, des lieux créant du lien social intergénérationnel. Des lieux générant d'incroyables et d'admirables vocations...Parce que les Fablabs, j'en suis convaincu, changent le monde et nous aident à co-construire un futur meilleur au bénéfice de tous.
Simon LAURENT
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Après le pavé de Simon, je me sens un peu obligé d'écrire un gros pâté moi aussi alors voilà ma profession de foi ou acte de candidature au Collège des Fablabs, bonne lecture:
Bonjour à tous
Tout d'abord une présentation générale:
Je m'appele Matthieu Dupont de Dinechin, j'ai 44 ans, je suis le fondateur et président du fablab associatif Chantier Libre, et je suis salarié de la SPL277, une structure qui s'occupe de la reconversion, gestion et animation d'une ancienne base militaire à Varennes-sur-Allier dans le but d'en faire une zône d'activité qui participe au développement de son territoire. Dans ce cadre je m'occupe notamment du montage et de l'animation d'un espace de coworking et d'un fablab.
Comment j'en suis arrivé là ? Après des études d'ingénieur et architecte j'ai exercé pendant 10 ans comme architecte en libéral spécialisé en construction écologique, avec en parrallèle une activité de formateur en 3D principalement sur le logiciel libre Blender. J'ai en effet toujours été passionné de 3D, et la découverte de Blender m'a entraîné dans le monde du logiciel libre. Je suis devenu assez actif dans la communauté Blender, et je me suis mis à donner des conférences sur Blender et les logiciels libres. J'ai aussi écrit le livre "Blender pour l'architecture" aux éditions Eyrolles. Ma découverte de l'impression 3D et des fablabs a coincidé avec une prise de conscience que je ne faisais rien localement autour des logciels libres. En constatant que sur le nord du département de la Loire il n'y avait ni GULL (Groupe d'Utilisateurs de Logiciels Libres) ni Fablab, j'ai donc lancé Chantier Libre avec un copain en 2013, une association qui faisait les deux. Ca a commencé dans ma grange, avec une Ultimaker Original, une fraiseuse Shapeoko, quelques arduinos et de l'outillage récupéré à droite et à gauche. Un premier gros changement a été le prêt de la gare de l'Hôpital-sur-Rhins par la mairie pour accueillir le fablab, qui depuis grossit tranquillement avec un bon noyeau dur de bénévoles et de plus en plus de matériel. Nous sommes tous bénévoles, une subvention ayant permis l'investissement dans plus de machines, mais le fonctionnement étant financé uniquement par les adhésions et les prestations aux entreprises. Nous n'avons presque que du matériel OpenHardware que nous avons monté nous même. Prochaine étape: l'aménagement de l'étage pour y installer un espace de coworking qui devrait pérenniser notre présence dans les lieux et assurer un peu de revenus.
A côté de cela ma route a croisé celle de la SPL277 qui avait une volonté forte que l'ancienne base aérienne de Varennes-sur-Allier soit plus qu'une simple zône d'activité avec notamment un projet de tiers-lieux comprenant un espace de coworking et un fablab orienté bois. Ils étaient d'accord avec l'idée qu'un tiers-lieux doit être porté par une communauté et des acteurs du territoire et que la SPL277 ne devait avoir qu'un rôle d'initiateur et facilitateur. J'ai donc rejoint l'équipe il y a trois ans et le fablab et l'espace de coworking sont maintenant opérationnels.Je reprends souvent une phrase de Celsio Fonseca pour résumer le rôle principal des fablabs pour moi: "la réappropriation critique de la technologie pour le changement social". Cela résume bien les différents aspects qui comptent pour moi: diffusion et partage des savoirs, autonomisation par le faire, production de discernement, création de communs, et la reprise de contrôle de la technologie qui peut en découler.
Un des aspect des fablabs que nous avons du mal à mettre en pratique est la mise en réseau, qui a tendance à passer après le reste, et comme nous avons tous la tête dans le guidon... C'est pour cela que le Réseau Français des Fablabs est important pour moi et que je souhaite m'y impliquer au sein du CA. Par ailleurs, je constate (comme beaucoup d'autres j'imagine) un manque de compréhension de ce que peuvent être les fablabs au delà d'un terme à la mode, et le rôle du RFF comme représentant de nos diversités et des nos points communs me semble primordial pour mieux nous faire entendre, connaître et reconnaître, et aider à ce que les fablabs restent les lieux extraordinaires dont nous rêvons.
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Bonjour à tous ,
Je m’appelle Pascal Desfarges vivant actuellement à Nantes je présente ma candidature en tant qu’adhérent au « collège des usagers des fablabs »
Depuis près de 20 ans maintenant , j’accompagne les territoires autour des enjeux des cultures numériques tant en zone rurale qu’ à l’échelle des métropoles. Das ce cadre je travaille avec les collectivités territoriales et plus spécifiquement dans le secteur culturel ( médiathèques, théâtres, musées, musiques actuelles , réseaux associatifs )
Je développe un point de vue autour de la ville collaborative et contributive productrice de communs afin de rééquilibrer la ville automatique et descendante porté par la notion de Smart City. En d’autres terme à la ville dite « intelligente » j’y oppose l’intelligence de la ville c’est à dire les humains qui s’empare du numérique pour développer leur capacité a agir , produire et inventer leur environnement. A ce tire les Fablab représente pour moi un des outils majeur, dans l’hyperproximité , permettant au citoyen de décider et réinventer son cadre de vie valorisant le bien vivre ensemble et garantissant son autonomie. Le fablab devient un levier concret permettant de produire de l’espace civique dans l’espace publicDepuis plusieurs années, je suis fortement impliqué autour de la question des Tiers Lieux , accompagnant avec les communautés de nombreux projet à l’échelle nationale ; tiers lieux généralistes ou thématiques portant les modèles en transition. Que ce soit un projet de fablab dans une médiathèque ou un théâtre ou encore le développement d’un projet de Tiers Lieux agricole je défends l’idée qu’un fablab est avant tout un outil de cohésion sociale et de développement territorial favorisant l’autonomie de l’individu et la compréhension des enjeux d’une société en transition
Ce qui me passionne aujourd’hui c’est développer une réflexion autour du rapport entre fablab et lieux de connaissance. A quoi peux servir un fablab dans une bibliothèque universitaire , un musée ou un Centre Dramatique National…
Pour prendre le simple exemple de la lecture publique, j’accompagne depuis plus de 15 ans maintenant les réseaux de médiathèque sur les territoires autour des enjeux des cultures numériques et l’innovation en bibliothèque. Tant dans la formation des équipes que dans la co-construction de nouveaux projets équipements avec les habitants , la questions des espaces de fabrication et création numérique et fablabs devient un enjeu majeur dans les médiathèques aujourd’hui. Portant mon travail autour la notion de « bibliothèque contributive » « bibliothèque distribuée » ces espaces participent aux développement des « communs de la connaissance » et constitue aujourd’hui un véritable réseau de Fablab en bibliothèque qui trouve son aboutissement aujourd’hui dans la publication récente d’un ouvrage consacré au sujet et pour lequel j’ai écris la conclusion
https://www.decitre.fr/livres/espaces-de-creation-numerique-en-bibliotheque-9782900177532.html
https://abf.asso.fr/boutique/img/cms/sommaires_mediathemes/espaces_creation_numerique_en_bibliotheque_sommaire.pdfCommissaire pour la Biennale internationale de design de St Etienne 2019 sur la thématique: « Manufacture de la ville: la cité contributive » ( exposition autour des citoyens qui contribuent au développement de la ville ) + colloque sur la notion de Cité contributive et des communs urbains
Ce commissariat s’intègre dans un plus vaste projet développé sur 3 ans dans la constitution d’un réseau distribué de 12 Tiers Lieux interconnectés dans le centre ville de St Etienne. En partant de structures existantes ( amicales laïques, centres sociaux, théâtres , médiathèques, lieux associatifs ) on repense ces lieux avec les habitants dans des processus Tiers Lieux. L’enjeu d’un réseau de fablab dans la ville est ici central permettant à l ‘échelle des quartiers de développer l’économie circulaire et par la même la dynamique économique de la ville portée par les habitants eux mêmes
Dans ce cadre nous avons développée une expérimentation « Fabcity » en collaboration avec le Fablab de Puy en Velay et d’open factory dans la conception collaborative d’une aire de jeu urbaine mobile avec des parents et des enfants constituant un commun urbain open source déclinable n’importe ou dans. La villehttps://www.biennale-design.com/saint-etienne/2019/fr/programmation/?event=manufacture-de-la-ville-323
https://www.biennale-design.com/saint-etienne/2019/fr/programmation/?event=manufacture-de-la-ville-606
https://www.biennale-design.com/saint-etienne/2019/fr/programmation/?event=la-fabcity-en-action-755Je suis aujourd’hui membre de la P2P foundation portée par Michel Bauwens en m’impliquant autour de la question de l’économie circulaire à travers des projets concrets et expérimentaux que l’on développe sur différents territoires et dont l’objectif central reste la production de communs partagés et distribués.
Je suis également co-fondateur d’un fablab dans un quartier prioritaire de Rouen: Aux Fils Conducteurs , « fabrique de couture collaborative et connectée »
http://auxfilsconducteurs.frPour conclure , le Fablab est pour moi avant tout un outil politique , au sens noble du terme, porteur de l’idée de démocratie contributive dans l’espace public. Acteurs concrets dans la production des communs, les Fablab garantissent la notion d’espace civique et l’interaction sociale sur les territoires
Je pense pouvoir apporter ma petite pierre à l’édifice et aider selon mes moyens a aider à développer et structurer le réseau dans le cadre des orientations et enjeux définis par le collectif. Que ma proposition soit acceptée ou non je continuerais à adhérer et participer à l’association
Désolé pour la longueur de cette profession de foi; difficile pour moi de synthétiser un parcours et un positionnement hybride et parfois fragile et incohérent
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Bonjour, bonjour
Je ne sais pas s'il n'est pas trop tard pour candidater au CA du RFF mais on va espérer que oui !
Profession de foi Candidature CA RFFLAB
Collège “Projet de FablabsBonjour,
Je m’appelle Antoine Ruiz-Scorletti, 27 ans et j’habite à Toulouse. Issu d’une double formation en communication/marketing et en valorisation de la recherche universitaire en histoire, je suis quelqu’un de très polyvalent et curieux. Je ne suis pas le plus grand des techniciens mais j’apprends sur le tas avec la communauté maker locale.
Je suis arrivé dans le mouvement maker d’une double façon : en étudiant les réseaux de sociabilité dans le domaine technique du XVIIIe siècle puis au cours de mes études pour produire des objets marketing originaux.
A la sortie de mes études, j’ai rejoint l’équipe du F@bRiquet, le fablab de Ramonville, porté par l’association Planète Sciences Occitanie en tant que responsable communication et promotion. Après cette belle expérience, j’ai décidé depuis deux mois de donner vie à mon projet personnel : Le Rambot du Cactus, un tiers-lieu itinérant à vélo modulable dont un des plug-ins est un fablab. Ce projet s'intègre à l’écosystème déjà en place en offrant une solution mobile tout en ayant pour mission de le valoriser.
Je suis un maker convaincu : bidouiller, innover, toucher à tout et surtout partager. Je suis intéressé par la perspective Medialab : comment pouvons-nous réussir à prototyper la communication afin de trouver des solutions pour mieux documenter nos projets.
Cette envie de partager des savoir-faire et des connaissances m’a tout de suite poussé à rejoindre le réseau des Fablabs d’Occitanie puis à participer à la création d’un réseau makers toulousains. De plus, depuis six mois, je me suis lancé dans un MakerTour des initiatives, des artisans et des makers portant des projets divers, que je communique principalement sur Instagram (@tierslieu.toulouse).
Il me semble que nous sommes à un tournant de notre vision du fablab. Le fablab, et plus encore le maker, n’ont plus de limites que celles de notre imagination. Nous sommes des makers : artisans, bidouilleurs, startupers, chercheurs… et notre champ de domaine semble infini. Notre culture est évolutive, libre, exponentielle, inclassable et multiple. Pour tous ces points, j’aimerais participer à la structuration du réseau national et à sa communication. Je souhaite être acteur et continuer à démontrer la beauté de ces lieux où tous peuvent se rencontrer et surtout créer à travers ce réseau.
Je suis motivé à travailler au renforcement du Réseau des fablabs français notamment en consolidant un réseau numérique entre makers mais aussi vers le grand public. Pour cela, j’ai des propositions pour développer le lien entre ces acteurs à travers les outils de communication. Faisons réseau !
C’est pour cela que je candidate au CA du RFFLAB dans le collège “Porteur de Fablabs”.
Antoine Ruiz-Scorletti
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Bonjour ou Bonsoir à tous,
Je m'appelle Kévin Mazars, ancien représentant du FabLab d'Albi.
Je me présente aujourd'hui dans le collège des sympathisants de fablab en tant que représentant de ma structure VRAI Studio afin de contribuer activement au réseau National.ORIGINE
En 2015, ma première rencontre avec les différents Fablabs de France lors du Fab Festival a créé en moi une passion pour les valeurs fantastiques qui émergent de ce mouvement. Les années qui suivirent et mon implication au sein du réseau (Trésorier en représentation d'Albilab en 2017-2018) m'ont permis de m'investir au sein du réseau. Après une année à suivre l'ensemble des actions d'un peu plus loin, afin de pouvoir me reposer et d'être en capacité de me réinvestir, c'est désormais le moment pour moi de poser ma candidature pour rejoindre à nouveau le CA et m'investir comme sympathisant.POURQUOI ?
Je souhaite (Et cela même avant de lire le compte rendu de Simon) rejoindre le réseau afin d'amener ma compétence relationnelle (Même si parfois je peux être la personne de contradiction), ma compétence de médiation et ma compétence historique du réseau pour pouvoir mener à bien la mise de mise en relation du RFFLabs en interne. C'est pour cela que ma lecture du Compte rendu de Simon m'a conforté dans l'idée qu'il y a des coopérations à mener pour le futur d'un réseau fort autant vers l'extérieur que vers l'intérieur.COMMENT ?
Les actions que je souhaite mettre en place s'inscrive dans les valeurs que j'ai toujours défendu au sein du RFFLabs, un réseau interne fort permet plus de synergies et moins de méfiances. Nous sommes dans une phase de transition et je souhaite que celle ci se passe autant vers les partenaires qui gravitent autour de notre éco-système que en interne de celui-ci. Les actions concrètes que je souhaite mettre en place est une amélioration de la diffusion de l'information auprès de tous les membres de la communauté déjà adhérente. Je souhaite également développer un mail spécifique et une ligne directe permettant au gestionnaire de fablab et au fabmanager de contacter le RFFLabs pour obtenir une écoute et une aide dans la limite des moyens disponibles. D'autres actions de communications vers les fablabs et assimilés non encore adhérents pourraient être une mission future.MA SITUATION
Je suis actuellement gestionnaire d'une petite pme qui se développe très tranquillement au fil de ses rencontres et de ses échanges. Mon temps n'est pas extensible mais est largement plus présent que lorsque j'étais en gestion d'Albilab à l'époque. Je suis motivé et dans la ligné de la motivation du réseau. Je suis persuadé que nous pouvons faire de grandes choses si nous sommes ensemble. A l'heure où j'écris ce message de nombreux échanges fantastiques attestes encore plus de ma passion pour ce réseau et je souhaite qu'il perdure pour que l'on puisse faire encore de nombreuses rencontres humaines, sociales et de compétences.CONCLUSION
Merci de votre lecture et j'espère que ma candidature vous aura convaincu. Désolé pour les fautes d'orthographes, c'est tard !Bonne journée à tous.